rassed : Le réveil a été douloureux, un cœur meurtri, une journée triste c’est mon ressenti en ce jour de grande perte.
Pour reprendre le grand écrivain Amadou Hampathé Bâ : « Quand un vieillard meurt, c’est une bibliothèque qui brûle ».
Cheikh Oumar Bâ, combattant des libertés humaines s’en est allé pour toujours.
Gentil, généreux, loyal, ouvert d’esprit, tolérant, intègre, le grand Cheikh Oumar Bâ a toujours lutté pour la cause humaine. Le pays a perdu, l’Afrique a aussi perdu, mais, aussi l’humanité vient de perdre le militant international, l’infaillible combattant des droits de l’homme.
Nous ne pourrons jamais pleurer assez pour combler cette douleur et exprimer ce grand vide qui va s’installer en nous.
Je ne trouve pas tous les mots mais je vais t’accompagner Cheikh dans ta demeure éternelle avec des prières.
Qu’Allah t’accueille dans son paradis et que sa terre te soit légère.
Repose en paix grand militant de tout temps.
Nouakchott, le 26 mars 20
Source: AFCF